Même si on adore son travail, les vacances sont nécessaires et certaines entreprises redoublent de créativité pour garder leurs employés heureux et motivés tout en augmentant leur productivité.
Prendre ses uniques 3 semaines de vacances annuelles pour participer à un voyage humanitaire dédié à transporter des vélos au Togo, c’est le pari que Joëlle a fait. Oui, sa job stressante à C2 Montréal justifierait tout à fait qu’elle ait plus besoin de relaxer que de se lancer un autre défi. Et non, elle n’a pas choisi le voyage organisé parce qu’elle ignorait comment voyager dans un coin du monde moins touristique. Cette globetrotter a exploré en solitaire bien des territoires isolés, pour le plaisir ou pour le travail. Mais justement, comment se déstabiliser quand le voyage est devenu si naturel à 34 ans ?
Pourquoi sommes-nous toujours plus relaxes en voyage? Y’a le facteur vacances évidemment, mais c’est peut-être aussi une question d’attitude. Voici donc la liste des 10 comportements de voyage qu’on gagnerait à appliquer à notre quotidien.
Ayant visité plus de 25 pays et étant partie à maintes reprises pour plusieurs mois en solo, je pense pouvoir dire que je suis une habituée du voyage. Alors pourquoi cette peur de partir seule pour 10 jours au Costa Rica? Est-ce parce que je vieillis ? Est-ce le fait d’avoir perdu ma naïveté suite à mon traumatisme crânien et d’en traîner des séquelles depuis 3 ans ? (J’entends certains me dire que j’ambitionne avec cette excuse, mais juré-crashé, ma relation avec le risque complètement changé suite à cette expérience. Maintenant, c’est simple, j’ai peur de tout! Heureusement que je suis «graillée» en orgueil parce que c’est une des seules raisons qui me pousse à encore relever des défis quand je fais un petit pipi nerveux dans ma culotte !)
Elle venait de partir. J’étais fin seul, j’allais pouvoir me gâter.
Elle, c’était ma première coloc (afin de ne pas préserver son anonymat, j’utilise un nom pas fictif pour identifier mon amie Émilie), et ce que je désirais tant, dans mon état solitaire, c’était de me faire plaisir.
Les gran-d-tours ne sont pas que professionnels, ils peuvent parfois être idéologiques. Dans mon cas, c’est exactement comme ça que je décrirais le processus qui m’a mené à devenir végane. Une importante décision qui a dévié ma vie et qui a remodelé entièrement la perspective que j’avais sur le monde dans lequel je vis. Devenir végane, c’est une véritable transformation, c’est défaire des idées très ancrées en nous et les restructurer. Une fois que ce gran-d-tour est entrepris, le retour en arrière semble impossible…
D’un côté, les gens qui ne boivent jamais, ou modérément selon les consignes d’Éduc Alcool et sa publicité gossante qui prescrit 2 verres par jour pour les femmes (maximum 10 par semaine) et 3 verres par jour pour les hommes (maximum de 15 par semaine). «Et on ne boit pas tous les jours! »